The Counselling Foundation of Canada et le CERIC (Institut canadien d’éducation et de recherche en orientation) ont rejoint Literacy Partners of Manitoba en tant qu’Aigle et commanditaire principal de la première présentation provinciale du Symposium sur la littératie des Autochtones, Nouvelles relations, Nouvelles occasions !

Le symposium se déroulera les 1er et 2 novembre, 2011 à l’auberge Victoria Inn de Winnipeg, Manitoba. Le développement d’une vision commune et de stratégies, en partenariat avec les organisations Autochtones, pour améliorer le niveau de littératie et les compétences essentielles pour trouver un emploi des Autochtones résidant au Manitoba sera le point central du symposium. L’Honorable James Bartleman, ancien lieutenant-gouverneur de l’Ontario, Ningwakwe George, auteur et ardent défenseur de la littératie, Ovide Mercredi, Première Nation de Grand Rapids, ancien chef national de l’Assemblée des Premières Nations sont les conférenciers invités.

Le faible niveau de littératie des Autochtones est un sujet qui préoccupe de plus en plus. Entre 40 et 70 % des adultes de nombreuses communautés autochtones du Manitoba ont un niveau d’éducation inférieur à la 9e, qui ne leur permet pas d’avoir les compétences de littératie minimales pour accomplir les tâches de la vie courante ou trouver un emploi. En dehors des Territoires du Nord-Ouest, le Manitoba est la province qui détient la plus forte proportion d’Autochtones, soit 15,5 % selon le recensement canadien de 2006. En 2017, 25 % de la population du Manitoba sera d’origine autochtone. Ces prévisions laissent à penser que les Autochtones auront un rôle prépondérant dans le domaine de la main-d’oeuvre.

« Nous sommes heureux de participer au Symposium sur la littératie des Autochtones » a déclaré Bruce Lawson, directeur exécutif de The Counselling Foundation of Canada et cadre exécutif du CERIC. « Nous reconnaissons que la démographie des Autochtones du Canada est une de celles qui croissent le plus vite et que de nombreuses régions du pays devront bientôt faire face à une pénurie de main-d’oeuvre qualifiée. La littératie et les compétences essentielles de nombreux Autochtones doivent d’abord être améliorées pour combler ces emplois et leur donner des possibilités de carrière ».

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