Le mieux est l’ennemi du bien. On a tous déjà entendu cette expression, et pourtant, combien d’entre nous sommes enthousiastes à l’idée de préserver le statu quo?

Les téléphones intelligents, les automobiles sans conducteur, les imprimantes 3D. On est facilement impressionnés – je suis facilement impressionnée – par les possibilités que ces technologies perturbatrices vont créer. On ne s’arrête pas souvent pour réfléchir aux impacts négatifs de l’innovation. On n’ose pas contredire le principe sacré du progrès à tout prix.

Mais pourquoi nous entêtons-nous à constamment vouloir changer un modèle qui fonctionne déjà? La réponse, bien souvent, est que ce modèle, justement, ne fonctionne pas.

Penser en dehors des sentiers battus, générer des idées qui dérangent, qui sont même un peu folles, ça ne changera pas le monde, mais ça exerce nos cerveaux à penser différemment, de façon créatrice. Plus on génère d’idées, plus il y a de chances que l’une d’entre elles se réalise et devienne quelque chose de vraiment spécial.

Comme, par exemple, un parc thématique sur les carrières. Ou un programme d’études commerciales pour artistes. Ou encore une technique permettant aux étudiants d’élargir radicalement leurs horizons professionnels.

L’innovation, toutefois, ne vient pas sans conséquences. Tom Staunton discute des perturbations que le progrès technologique provoquera sur le marché du travail, et ce ne sera pas de tout repos.

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Bonne lecture!

 

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