Le CERIC signe la Déclaration d’action de la communauté philanthropique en faveur d’une réconciliation
Pour contribuer à tisser des relations plus solides et positives entre les peuples autochtones et non autochtones, le CERIC s’est joint à un groupe composé des principaux organismes philanthropiques du Canada en signant une Déclaration d’action visant à assurer la poursuite de mesures positives en matière de réconciliation.
La Déclaration a d’abord été publiée en juin 2015, au moment où se terminaient les activités de la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR). La CVR, chapeautée par le juge Murray Sinclair, a passé six ans à entendre la vérité sur les pensionnats indiens du Canada et à mettre sur pied un processus de réconciliation qui vise l’établissement de meilleures relations entre les peuples autochtones et non autochtones du Canada.
The Counselling Foundation of Canada, qui a fondé le CERIC et continue de le financer, figurait parmi les premiers signataires de la Déclaration. À l’heure actuelle, un total de 76 organismes à l’échelle du pays ont signé la Déclaration, notamment des fondations et des organismes philanthropiques voués à l’inclusion, à la culture, à la langue, à la santé, à la sensibilisation en matière de logement, à l’emploi et à l’environnement.
« C’est un premier pas pour nous concentrer collectivement sur la réconciliation et nous engager à faire honneur aux travaux de la CVR en mettant en œuvre ses recommandations », a déclaré Bruce Lawson, chef de la direction de The Counselling Foundation of Canada et ancien président des Fondations philanthropiques Canada.
Le CERIC compte mettre à profit ses plateformes et ses réseaux pour appuyer la concrétisation de la vision des peuples autochtones, qui consiste à construire un pays plus équitable. Pour ouvrir le bal, CERIC a intégré un atelier précongrès d’une journée sur la connaissance de la culture autochtone à son traditionnel Congrès national en développement de carrière Cannexus, qui a eu lieu du 23 au 25 janvier 2017, à Ottawa.
« Dans le cadre de ce processus de réconciliation, nous avons hâte de mobiliser la communauté canadienne du développement de carrière autour de nos efforts de sensibilisation, de recherche et de collaboration, soutient Riz Ibrahim, directeur général du CERIC. Les professionnels du développement de carrière ont un rôle de premier plan à jouer auprès des communautés et des étudiants avec lesquels ils tissent des liens, en vue de bâtir un avenir plus inclusif pour tous. »