Avis aux médias/séance de photos : Participez au plus important congrès au Canada axé sur le développement de carrière et le perfectionnement de la main-d’œuvre

Cannexus, le plus important congrès sur le développement de carrière au Canada, met en lumière les principales tendances en matière de carrière pour 2023 

Ottawa, 10 janvier 2023 – Curriculum vitæ appuyant la communauté 2SLGBTQIA+, carrières sensibles aux changements climatiques, « breadcrumbing », voilà quelques-unes des nombreuses tendances mises en valeur au congrès Cannexus, le plus important congrès canadien sur les réalités actuelles et émergentes de la main-d’œuvre au Canada. Se déroulant du 23 au 25 janvier 2023 à Ottawa et en mode virtuel, le congrès réunira plus de 2 000 délégués et professionnels du développement de carrière pour discuter de ces enjeux et innovations.  

Alors que l’on parle de récession et de pénurie de main-d’œuvre historique, employeurs et employés sont en pleine transition et cherchent à établir de nouvelles règles pour le travail, notamment un environnement hybride. Le congrès Cannexus permettra d’évaluer les répercussions de ces enjeux en ce qui concerne les nouveaux diplômés, les adultes qui changent de carrière, le départ des babyboomers vieillissants du marché du travail et le nombre record de nouveaux arrivants qui intègrent le marché du travail.  

Quoi : Congrès canadien en développement de carrière Cannexus 

Quand : Du lundi 23 au mercredi 25 janvier 2023 

Où : Au Centre Shaw, 55, promenade du Colonel-By, Ottawa, ET en ligne 

PROGRAMME DU CONGRÈS : Le programme complet du congrès se trouve à l’adresse : https://cannexus.ceric.ca/fr/apercu/ 

POSSIBILITÉ D’ENTREVUE :  

André Raymond, membre et ancien président du conseil d’administration du CERIC, l’organisateur du congrès Cannexus, sera présent au congrès à Ottawa et disponible – avec un réseau national d’experts en développement de carrière – pour aider les participants à comprendre les tendances actuelles en matière de main-d’œuvre et de milieu de travail.  

 Plus de 150 séances (en personne ou en ligne) couvriront divers sujets d’actualité, notamment : 

  • Curriculum vitæ et carrières appuyant la communauté 2SLGBTQIA+ pour aider ces chercheurs d’emploi à surmonter les obstacles courants en matière d’emploi. 
  • Mères retournant au travail dans le sillage de la « récession des femmes » : Les mères qui étaient de principales aidantes et dont le curriculum vitæ présente des lacunes sont d’excellentes candidates au talent inexploité. 
  • Nouveau col. « Breadcrumbing ». Hyperspécialisation. Identification au travail. Bulles de filtre : Comprendre le nouveau vocabulaire des carrières 
  • Décider si vous avez besoin d’une nouvelle carrière ou simplement d’un nouvel employeur. Les questions clés à se poser pour prendre une décision éclairée.    
  • L’état d’esprit des étudiants d’après un sondage mené auprès de 16 000 étudiants de niveau postsecondaire au Canada : Qu’est-ce que les jeunes attendent de leur carrière, de nos jours? 
  • Faire face aux préjugés implicites dans la recherche d’emploi pour les populations sousreprésentées lors du recrutement et de l’embauche.  
  • Nouvelle recherche : L’embauche est la première étape, mais le succès des nouveaux immigrants dépend de la manière dont les employeurs les accueillent. 
  • Le réengagement des travailleurs à la retraite et les avantages pour les employeurs et les employés. 
  • Cultiver des carrières sensibles aux changements climatiques qui atténuent les effets des changements écologiques, améliorer les compétences des Canadiens en matière de consommation énergétique nette zéro et combattre l’écoanxiété.  

Suivez le congrès Cannexus sur Twitter, avec le compte @cannexus ou le mot-clic #Cannexus.

Pour obtenir un laissez-passer média, pour organiser des entrevues ou pour plus d’information, veuillez écrire à nikita@sppublicrelations.com   

À propos du CERIC/Renseignements complémentaires 

Le CERIC, établi à Toronto, est le seul organisme caritatif de son genre au Canada voué à l’éducation et à la recherche en matière de développement de carrière, afin d’accroître le bien-être économique et social des Canadiens. Il finance des projets ayant pour but de développer des ressources novatrices permettant aux divers professionnels de la carrière d’enrichir leurs connaissances et leurs compétences; il organise le congrès annuel Cannexus, le plus important congrès bilingue en développement de carrière au Canada; et il publie le seul périodique universitaire évalué par des pairs dans le domaine au pays, la Revue canadienne de développement de carrière. www.ceric.ca/fr  

Le congrès Cannexus sera amorcé par le Dr James Makokis, expert canadien de la bispiritualité, de la diversité, de la santé des Autochtones et des Premières Nations, qui a remporté une saison d’Amazing Race Canada avec son partenaire. La conférence suivante sera donnée par Linda Nazareth, économiste, futurologue et experte de l’avenir du travail. Elle est l’auteure d’un livre à paraître, Working it Out: How to be Ready for the Redefined World of Work. Le congrès Cannexus se conclura par la conférence de Tareq Hadhad, réfugié syrien et entrepreneur à succès, fondateur de Peace by Chocolate.  

Le Centre des Compétences futures de Cannexus offrira une demi-journée de programmation consacrée à l’exploration de l’évolution du marché du travail au Canada. Ces séances spéciales, fondées sur des études émergentes et des projets pilotes et auxquelles participeront le gouvernement de la Nouvelle-Écosse et Walmart, aborderont le rôle du secteur du développement de carrière et des employeurs pour répondre aux besoins actuels et futurs de la main-d’œuvre. 

EN SAVOIR PLUS

Le « grand remaniement ». Une sondage canadienne révèle que 81 % des cadres supérieurs canadiens ont de la difficulté à pourvoir les postes vacants et confirment l’existence d’un écart de compétences dans l’ensemble de leur secteur d’activité

Le CERIC met au jour les principaux défis auxquels les entreprises canadiennes font face dans le contexte d’une pandémie en constante évolution et la façon dont le développement de carrière peut accroître la croissance économique du Canada

TORONTO (ONTARIO), le 25 janvier 2022 – Il existe un vaccin pour protéger le recrutement et le maintien en poste des employés dans le sillage du « grand remaniement ». Il s’agit du développement de carrière.

Selon un récent sondage national [i] mené par Environics pour le CERIC – un organisme caritatif canadien voué à la progression de l’éducation et de la recherche en matière d’orientation professionnelle et de développement de carrière – la majorité des cadres supérieurs canadiens (81 %) ont de la difficulté à trouver des candidats possédant les compétences adéquates pour pourvoir les postes vacants et 78 % conviennent qu’il existe un écart de compétences dans leur secteur d’activité respectif.

« La pandémie en cours et l’incertitude économique sous-jacente font en sorte que les cadres supérieurs canadiens éprouvent des difficultés et des points irritants importants, notamment en matière de recrutement, d’embauche et de maintien en poste des talents, affirme André Raymond, CRHA, Université Laval et président du conseil d’administration du CERIC. Les entreprises canadiennes peuvent jouer un rôle important pour répondre à ces défis changeants en matière de main-d’œuvre en investissant dans le développement de carrière, ce qui leur permettra de remédier à la pénurie de main-d’œuvre, de contribuer à la croissance économique et de démontrer leur engagement à bâtir une main-d’œuvre qualifiée solide pour l’avenir. »

Le CERIC a sondé 500 cadres supérieurs canadiens dans plus de 11 secteurs d’activité, notamment les services, la vente au détail, l’accueil, la construction et la fabrication. Le sondage met au jour l’opinion actuelle des organisations canadiennes concernant les lacunes en matière de compétences et de talents sur le marché du travail; l’embauche de membres issus de groupes sous-représentés dans le cadre de stratégies pour favoriser l’équité, la diversité et l’inclusion, ainsi que l’importance d’investir dans le développement de carrière. Les résultats du sondage du CERIC sont également comparés avec ceux de 2013 afin d’assurer le suivi des changements survenus au cours des huit dernières années.

Principaux défis pour les entreprises canadiennes

Depuis 2013, les cadres supérieurs sont moins préoccupés par l’état de l’économie, la réglementation et la bureaucratie, et le fait de rester à la pointe de la technologie. Dans ce contexte pandémique fluide et l’incertitude sous-jacente, la difficulté de trouver de jeunes talents qualifiés s’est accentuée au cours des huit dernières années. Les cinq principaux défis auxquels font face les employeurs sont les suivants :

  1. une pénurie de main-d’œuvre qualifiée (75 % contre 68 % en 2013);
  2. la recherche de jeunes travailleurs (66 % contre 51 % en 2013);
  3. les problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement (70 %);
  4. l’état général de l’économie (69 % contre 77 % en 2013);
  5. la réglementation et la bureaucratie (52 % contre 63 % en 2013).

Tandis que les employeurs de l’Ontario étaient les moins susceptibles de faire face à une pénurie de main-d’œuvre qualifiée en 2013, ils sont maintenant les plus sujets à être touchés par cette difficulté (81 % en 2021 contre 59 % en 2013), suivis par ceux du Québec (76 % contre 77 % en 2013) et des Prairies (76 % contre 69 % en 2013).

Recrutement et maintien en poste des talents

Quatre-vingt-un pour cent des cadres supérieurs canadiens ont de la difficulté à trouver des candidats possédant les compétences adéquates pour pourvoir les postes vacants dans leur entreprise – contre 70 % en 2013. Les éléments suivants présentent également une difficulté :

  • la recherche de candidats fiables ayant une bonne éthique de travail (29 %);
  • un marché du travail compétitif au sein de leur secteur d’activité respectif (23 %).

Tandis que l’importance du curriculum vitæ n’a pas beaucoup changé depuis 2013, les cadres supérieurs trouvent que l’empreinte en ligne d’un employé potentiel est de plus en plus importante (63 % contre 52 % en 2013).

Malgré l’importance croissante de l’équité, de la diversité et de l’inclusion, on constate seulement une légère augmentation de la proportion des cadres supérieurs qui s’efforcent de personnaliser leurs méthodes de recrutement pour attirer et atteindre des membres de groupes sous-représentés (51 % contre 46 % en 2013).

« Par rapport à l’époque prépandémique, les cadres supérieurs canadiens se heurtent maintenant à une concurrence accrue pour recruter des talents et un tiers d’entre eux trouvent qu’il est plus difficile de conserver leurs employés qu’il y a deux ans, explique Candy Ho, première professeure adjointe du programme d’apprentissage fondamental et de planification intégrée de carrière de l’Université Fraser Valley et vice-présidente du CERIC. Pour être compétitifs, il est impératif que les employeurs prennent des mesures stratégiques et trouvent des moyens de différencier la proposition de valeur qu’ils offrent à leurs employés actuels et potentiels.

Le développement de carrière est une stratégie essentielle pour recruter, perfectionner et conserver des employés productifs et satisfaits, ajoute Mme Ho. Cette approche peut aider les employeurs à faire face aux principales difficultés qui les assaillent aujourd’hui. Qu’il s’agisse de trouver des talents au sein de groupes sous-représentés ou d’offrir un accompagnement en gestion et transition de carrière à leurs employés, les entreprises peuvent aider à bâtir une main-d’œuvre plus solide et contribuer à la croissance économique du Canada. »

Regard concret sur les compétences générales

Les cadres supérieurs qui éprouvent plus de difficultés à conserver leurs employés (72 %) constatent plus souvent un écart de compétences dans leur secteur d’activité (42 %) et trouvent qu’il est de plus en plus difficile de recruter des candidats possédant les compétences générales qu’ils jugent importantes (40 %). Si une attitude positive et de bonnes aptitudes à communiquer continuent d’être considérées comme les deux compétences générales les plus importantes pour les employeurs potentiels, l’importance de la fiabilité a quant à elle augmenté de plus de 100 % :

  1. attitude positive (29 % contre 36 % en 2013);
  2. aptitudes à communiquer (22 % contre 29 % en 2013);
  3. fiabilité (21 % contre 9 % en 2013);
  4. excellente éthique du travail (18 % contre 23 % en 2013);
  5. aptitudes à travailler en équipe (16 % contre 25 % en 2013).

De nombreux experts en développement de carrière laissent entendre que les compétences générales commencent à prévaloir sur les compétences techniques. Les emplois nécessitant de bonnes aptitudes sociales sont de plus en plus courants et on les décrit même comme essentiels pour l’avenir du travail. Le sondage a révélé que les cadres supérieurs sont plus susceptibles d’embaucher une personne appropriée possédant des compétences générales et de lui offrir une formation (78 %).

Le gouvernement fédéral a également pris des mesures pour donner la priorité aux compétences générales en demandant à Emploi et Développement social Canada (ESDC) d’étudier des moyens d’améliorer le cadre des compétences essentielles. En 2021, ce dernier a publié les « Compétences pour réussir » [ii] qui comprennent la communication, la créativité et l’innovation, la résolution de problèmes et l’adaptabilité, pour n’en citer que quelques-unes.

« Les employeurs recherchent de plus en plus des candidats possédant des compétences hybrides, soit une combinaison de compétences générales et techniques, affirme Mme Ho. Les Canadiens ont la possibilité d’acquérir et de mettre en pratique des compétences qui peuvent les distinguer des autres candidats. Ces nouvelles compétences les rendront également plus efficaces dans leur emploi actuel et leur permettront de s’adapter rapidement à l’évolution des secteurs d’activité, et de mettre leurs compétences et leurs talents au profit d’une carrière gratifiante. »

Investir dans le développement de carrière pour combler l’écart de compétences

Tandis que 73 % des employeurs interrogés reconnaissent leur responsabilité d’offrir des programmes de gestion de carrière à leurs employés, seuls 27 % d’entre eux le font et 45 % ne connaissaient pas le rôle des professionnels du développement de carrière avant de répondre à ce sondage.

« Les cadres supérieurs canadiens ont l’occasion unique d’aider leurs employés à prendre en charge leur carrière, et ce, en investissant dans des stratégies de développement axées sur la détermination de leurs points forts et d’objectifs de carrière précis qui peuvent accroître leur satisfaction au travail, dit M. Raymond. Le fait de travailler avec un professionnel du développement de carrière peut aider les organisations à élaborer des stratégies qui répondent aux besoins de l’entreprise et améliorent l’engagement des employés, ce qui fini par entraîner une augmentation de la productivité, l’établissement de relations positives, la définition de tâches claires et la création d’un environnement de travail favorable. »

Congrès Cannexus – du 24 au 26 janvier 2022

Les résultats de ce sondage canadien ont été publiés lors d’une table ronde menée par des experts de l’industrie à Cannexus, le plus important congrès bilingue en développement de carrière au Canada. Plus de 1 700 professionnels du développement de carrière ont participé à cette conférence virtuelle qui comprenait plus de 150 séances dans le domaine de la recherche, des politiques et des pratiques en matière de développement de carrière et de main-d’œuvre.

À propos du CERIC

Le CERIC est un organisme caritatif voué à la progression de l’éducation et de la recherche en matière d’orientation professionnelle et de développement de carrière dans le but d’accroître le bien-être économique et social des Canadiennes et des Canadiens. Il finance des projets ayant pour but de développer des ressources novatrices permettant aux divers professionnels du développement de carrière d’enrichir leurs connaissances et leurs compétences; il organise le congrès annuel Cannexus; et il publie le seul périodique universitaire évalué par des pairs dans le domaine au pays, la Revue canadienne de développement de carrière. Pour en savoir plus, visitez le sitewww.ceric.ca/fr/.

Pour organiser une entrevue avec un membre du conseil d’administration du CERIC et un expert de l’industrie ou pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Sonia Prashar ou Bronlynn Carrington à spPR Inc. soniaprashar@sppublicrelations.com I bronlynncarrington@sppublicrelations.com

[i] Du 18 novembre au 17 décembre 2021, Environics a mené un sondage téléphonique national auprès de 501 entreprises canadiennes choisies au hasard. Pour ce faire, les sondeurs ont interrogé des cadres supérieurs responsables de l’embauche, de la formation et du développement de carrière au sein de l’organisation. Un suivi des quotas a été effectué afin de s’assurer qu’un nombre minimum d’entrevues était réalisé dans chaque région du Canada. L’échantillon a été conçu de façon à interroger des cadres supérieurs d’entreprises de tailles et de milieux (urbain, rural et suburbain) différents qui travaillent dans des secteurs variés, et ce, partout au pays. La marge d’erreur est de plus ou moins 4,4 points de pourcentage, au niveau de confiance habituel de 95 %.

[ii] https://careerwise.ceric.ca/2021/06/28/what-you-need-to-know-about-canadas-new-skills-for-success-framework/#.YdiPK2jMLIU
EN SAVOIR PLUS

Le « grand remaniement ». Une sondage canadienne révèle que 81 % des cadres supérieurs canadiens ont de la difficulté à pourvoir les postes vacants et confirment l’existence d’un écart de compétences dans l’ensemble de leur secteur d’activité

Le CERIC met au jour les principaux défis auxquels les entreprises canadiennes font face dans le contexte d’une pandémie en constante évolution et la façon dont le développement de carrière peut accroître la croissance économique du Canada

TORONTO (ONTARIO), le 25 janvier 2022 – Il existe un vaccin pour protéger le recrutement et le maintien en poste des employés dans le sillage du « grand remaniement ». Il s’agit du développement de carrière.

Selon un récent sondage national [i] mené par Environics pour le CERIC – un organisme caritatif canadien voué à la progression de l’éducation et de la recherche en matière d’orientation professionnelle et de développement de carrière – la majorité des cadres supérieurs canadiens (81 %) ont de la difficulté à trouver des candidats possédant les compétences adéquates pour pourvoir les postes vacants et 78 % conviennent qu’il existe un écart de compétences dans leur secteur d’activité respectif.

« La pandémie en cours et l’incertitude économique sous-jacente font en sorte que les cadres supérieurs canadiens éprouvent des difficultés et des points irritants importants, notamment en matière de recrutement, d’embauche et de maintien en poste des talents, affirme André Raymond, CRHA, Université Laval et président du conseil d’administration du CERIC. Les entreprises canadiennes peuvent jouer un rôle important pour répondre à ces défis changeants en matière de main-d’œuvre en investissant dans le développement de carrière, ce qui leur permettra de remédier à la pénurie de main-d’œuvre, de contribuer à la croissance économique et de démontrer leur engagement à bâtir une main-d’œuvre qualifiée solide pour l’avenir. »

Le CERIC a sondé 500 cadres supérieurs canadiens dans plus de 11 secteurs d’activité, notamment les services, la vente au détail, l’accueil, la construction et la fabrication. Le sondage met au jour l’opinion actuelle des organisations canadiennes concernant les lacunes en matière de compétences et de talents sur le marché du travail; l’embauche de membres issus de groupes sous-représentés dans le cadre de stratégies pour favoriser l’équité, la diversité et l’inclusion, ainsi que l’importance d’investir dans le développement de carrière. Les résultats du sondage du CERIC sont également comparés avec ceux de 2013 afin d’assurer le suivi des changements survenus au cours des huit dernières années.

Principaux défis pour les entreprises canadiennes

Depuis 2013, les cadres supérieurs sont moins préoccupés par l’état de l’économie, la réglementation et la bureaucratie, et le fait de rester à la pointe de la technologie. Dans ce contexte pandémique fluide et l’incertitude sous-jacente, la difficulté de trouver de jeunes talents qualifiés s’est accentuée au cours des huit dernières années. Les cinq principaux défis auxquels font face les employeurs sont les suivants :

  1. une pénurie de main-d’œuvre qualifiée (75 % contre 68 % en 2013);
  2. la recherche de jeunes travailleurs (66 % contre 51 % en 2013);
  3. les problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement (70 %);
  4. l’état général de l’économie (69 % contre 77 % en 2013);
  5. la réglementation et la bureaucratie (52 % contre 63 % en 2013).

Tandis que les employeurs de l’Ontario étaient les moins susceptibles de faire face à une pénurie de main-d’œuvre qualifiée en 2013, ils sont maintenant les plus sujets à être touchés par cette difficulté (81 % en 2021 contre 59 % en 2013), suivis par ceux du Québec (76 % contre 77 % en 2013) et des Prairies (76 % contre 69 % en 2013).

Recrutement et maintien en poste des talents

Quatre-vingt-un pour cent des cadres supérieurs canadiens ont de la difficulté à trouver des candidats possédant les compétences adéquates pour pourvoir les postes vacants dans leur entreprise – contre 70 % en 2013. Les éléments suivants présentent également une difficulté :

  • la recherche de candidats fiables ayant une bonne éthique de travail (29 %);
  • un marché du travail compétitif au sein de leur secteur d’activité respectif (23 %).

Tandis que l’importance du curriculum vitæ n’a pas beaucoup changé depuis 2013, les cadres supérieurs trouvent que l’empreinte en ligne d’un employé potentiel est de plus en plus importante (63 % contre 52 % en 2013).

Malgré l’importance croissante de l’équité, de la diversité et de l’inclusion, on constate seulement une légère augmentation de la proportion des cadres supérieurs qui s’efforcent de personnaliser leurs méthodes de recrutement pour attirer et atteindre des membres de groupes sous-représentés (51 % contre 46 % en 2013).

« Par rapport à l’époque prépandémique, les cadres supérieurs canadiens se heurtent maintenant à une concurrence accrue pour recruter des talents et un tiers d’entre eux trouvent qu’il est plus difficile de conserver leurs employés qu’il y a deux ans, explique Candy Ho, première professeure adjointe du programme d’apprentissage fondamental et de planification intégrée de carrière de l’Université Fraser Valley et vice-présidente du CERIC. Pour être compétitifs, il est impératif que les employeurs prennent des mesures stratégiques et trouvent des moyens de différencier la proposition de valeur qu’ils offrent à leurs employés actuels et potentiels.

Le développement de carrière est une stratégie essentielle pour recruter, perfectionner et conserver des employés productifs et satisfaits, ajoute Mme Ho. Cette approche peut aider les employeurs à faire face aux principales difficultés qui les assaillent aujourd’hui. Qu’il s’agisse de trouver des talents au sein de groupes sous-représentés ou d’offrir un accompagnement en gestion et transition de carrière à leurs employés, les entreprises peuvent aider à bâtir une main-d’œuvre plus solide et contribuer à la croissance économique du Canada. »

Regard concret sur les compétences générales

Les cadres supérieurs qui éprouvent plus de difficultés à conserver leurs employés (72 %) constatent plus souvent un écart de compétences dans leur secteur d’activité (42 %) et trouvent qu’il est de plus en plus difficile de recruter des candidats possédant les compétences générales qu’ils jugent importantes (40 %). Si une attitude positive et de bonnes aptitudes à communiquer continuent d’être considérées comme les deux compétences générales les plus importantes pour les employeurs potentiels, l’importance de la fiabilité a quant à elle augmenté de plus de 100 % :

  1. attitude positive (29 % contre 36 % en 2013);
  2. aptitudes à communiquer (22 % contre 29 % en 2013);
  3. fiabilité (21 % contre 9 % en 2013);
  4. excellente éthique du travail (18 % contre 23 % en 2013);
  5. aptitudes à travailler en équipe (16 % contre 25 % en 2013).

De nombreux experts en développement de carrière laissent entendre que les compétences générales commencent à prévaloir sur les compétences techniques. Les emplois nécessitant de bonnes aptitudes sociales sont de plus en plus courants et on les décrit même comme essentiels pour l’avenir du travail. Le sondage a révélé que les cadres supérieurs sont plus susceptibles d’embaucher une personne appropriée possédant des compétences générales et de lui offrir une formation (78 %).

Le gouvernement fédéral a également pris des mesures pour donner la priorité aux compétences générales en demandant à Emploi et Développement social Canada (ESDC) d’étudier des moyens d’améliorer le cadre des compétences essentielles. En 2021, ce dernier a publié les « Compétences pour réussir » [ii] qui comprennent la communication, la créativité et l’innovation, la résolution de problèmes et l’adaptabilité, pour n’en citer que quelques-unes.

« Les employeurs recherchent de plus en plus des candidats possédant des compétences hybrides, soit une combinaison de compétences générales et techniques, affirme Mme Ho. Les Canadiens ont la possibilité d’acquérir et de mettre en pratique des compétences qui peuvent les distinguer des autres candidats. Ces nouvelles compétences les rendront également plus efficaces dans leur emploi actuel et leur permettront de s’adapter rapidement à l’évolution des secteurs d’activité, et de mettre leurs compétences et leurs talents au profit d’une carrière gratifiante. »

Investir dans le développement de carrière pour combler l’écart de compétences

Tandis que 73 % des employeurs interrogés reconnaissent leur responsabilité d’offrir des programmes de gestion de carrière à leurs employés, seuls 27 % d’entre eux le font et 45 % ne connaissaient pas le rôle des professionnels du développement de carrière avant de répondre à ce sondage.

« Les cadres supérieurs canadiens ont l’occasion unique d’aider leurs employés à prendre en charge leur carrière, et ce, en investissant dans des stratégies de développement axées sur la détermination de leurs points forts et d’objectifs de carrière précis qui peuvent accroître leur satisfaction au travail, dit M. Raymond. Le fait de travailler avec un professionnel du développement de carrière peut aider les organisations à élaborer des stratégies qui répondent aux besoins de l’entreprise et améliorent l’engagement des employés, ce qui fini par entraîner une augmentation de la productivité, l’établissement de relations positives, la définition de tâches claires et la création d’un environnement de travail favorable. »

Congrès Cannexus – du 24 au 26 janvier 2022

Les résultats de ce sondage canadien ont été publiés lors d’une table ronde menée par des experts de l’industrie à Cannexus, le plus important congrès bilingue en développement de carrière au Canada. Plus de 1 700 professionnels du développement de carrière ont participé à cette conférence virtuelle qui comprenait plus de 150 séances dans le domaine de la recherche, des politiques et des pratiques en matière de développement de carrière et de main-d’œuvre.

À propos du CERIC

Le CERIC est un organisme caritatif voué à la progression de l’éducation et de la recherche en matière d’orientation professionnelle et de développement de carrière dans le but d’accroître le bien-être économique et social des Canadiennes et des Canadiens. Il finance des projets ayant pour but de développer des ressources novatrices permettant aux divers professionnels du développement de carrière d’enrichir leurs connaissances et leurs compétences; il organise le congrès annuel Cannexus; et il publie le seul périodique universitaire évalué par des pairs dans le domaine au pays, la Revue canadienne de développement de carrière. Pour en savoir plus, visitez le sitewww.ceric.ca/fr/.

Pour organiser une entrevue avec un membre du conseil d’administration du CERIC et un expert de l’industrie ou pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Sonia Prashar ou Bronlynn Carrington à spPR Inc. soniaprashar@sppublicrelations.com I bronlynncarrington@sppublicrelations.com

[i] Du 18 novembre au 17 décembre 2021, Environics a mené un sondage téléphonique national auprès de 501 entreprises canadiennes choisies au hasard. Pour ce faire, les sondeurs ont interrogé des cadres supérieurs responsables de l’embauche, de la formation et du développement de carrière au sein de l’organisation. Un suivi des quotas a été effectué afin de s’assurer qu’un nombre minimum d’entrevues était réalisé dans chaque région du Canada. L’échantillon a été conçu de façon à interroger des cadres supérieurs d’entreprises de tailles et de milieux (urbain, rural et suburbain) différents qui travaillent dans des secteurs variés, et ce, partout au pays. La marge d’erreur est de plus ou moins 4,4 points de pourcentage, au niveau de confiance habituel de 95 %.

[ii] https://careerwise.ceric.ca/2021/06/28/what-you-need-to-know-about-canadas-new-skills-for-success-framework/#.YdiPK2jMLIU
EN SAVOIR PLUS

Un nouveau sondage national révèle que les Canadiens regrettent souvent leur choix de carrière

Les professionnels en développement de carrière signalent que leurs clients se sont sentis poussés à choisir une carrière qui ne les intéressait pas

Toronto, le 27 janvier 2020 – Selon un sondage national mené par le CERIC auprès de plus de 1 300 spécialistes de l’orientation professionnelle, plus de 7 Canadiens sur 10 qui consultent un conseiller d’orientation ou un accompagnateur en gestion et transition de carrière disent qu’ils souhaiteraient avoir pris des décisions de carrière différentes plus tôt dans leur vie. Les résultats de ce sondage seront dévoilés lors de Cannexus, le plus important congrès en développement de carrière au Canada, qui aura lieu du 27 au 29 janvier au Centre Shaw à Ottawa, en Ontario.

Les spécialistes de l’orientation professionnelle sondés signalent que les étudiants et adultes qu’ils conseillent leur disent souvent que, s’ils le pouvaient, ils retourneraient dans le temps pour changer leur choix de carrière. Ils signalent aussi que parmi leurs clients :

  • 71,7 % disent « Je souhaiterais avoir mieux compris qui je suis et avoir choisi une carrière qui correspond à mes valeurs ».
  • 66,5 % disent « J’aurais souhaité ne pas subir de pression dans mon choix de carrière afin d’éviter de suivre un parcours qui ne correspond pas à mes aspirations ».
  • 61 % disent « J’aurais dû éviter de jouer la carte de la sécurité et de laisser la peur orienter mes choix de carrière ».
  • 58,8 % disent « J’aurais dû éviter de me limiter si tôt dans mes options, afin de pouvoir explorer d’autres carrières ».

« Les résultats du sondage soulignent la nécessité pour les Canadiens de posséder de meilleures compétences en développement de carrière, dès un jeune âge et tout au long de leur vie », dit John Horn, président du conseil du CERIC, organisme caritatif national qui met l’accent sur l’éducation et la recherche en matière de développement de carrière. Au nombre de ces compétences, il y a la faculté de déterminer les apprentissages nécessaires pour occuper les emplois de l’avenir et celle de développer une résilience émotionnelle pour nous adapter au changement et ne pas laisser les attentes des autres ou nos propres doutes nous imposer des limites.

D’ajouter le président du conseil, « Nous voulons tous occuper un emploi motivant, qui nous stimule et nous permet de créer la vie que nous voulons pour nous-mêmes et nos familles ».

Les conseillers sondés le disent : les Canadiens désirent un équilibre entre la recherche d’une carrière qui les passionne et les réalités économiques. Leurs clients sont répartis également : 45,3 % ont peur de ne pas prendre la « bonne » décision quant à leur carrière et 49,4 % sont préoccupés quant à leur capacité de trouver un emploi bien rémunéré. Fait à noter : seulement 3,2 % des professionnels en développement de carrière signalent que leurs clients craignent l’intelligence artificielle et l’automatisation et leurs impacts potentiels sur leurs perspectives d’emploi, ce qui est étonnant, en raison du débat public autour du remplacement des travailleurs par la technologie.

Le sondage a aussi cerné un certain nombre de mythes qui, de l’avis des professionnels en développement de carrière, perdurent et empêchent les gens de trouver une carrière enrichissante – le plus répandu de ces mythes est celui que l’orientation professionnelle se termine à la fin des études secondaires :

  • 85,2 % sont d’accord que la plupart des Canadiens ignorent que des services d’orientation professionnelle sont disponibles ailleurs qu’à l’école secondaire.
  • 82,1 % sont d’accord que la plupart des Canadiens pensent qu’après les études postsecondaires, la carrière suit un parcours linéaire et que l’on trouve un emploi dans son domaine.
  • 79,3 % sont d’accord que la plupart des Canadiens croient que faire un choix de carrière, c’est décider ce qu’on fera le reste de sa vie.
  • 51,2 % sont d’accord que la plupart des Canadiens pensent que pour trouver un emploi de rêve, il suffit de suivre sa passion.

« Les Canadiens de tous les âges doivent savoir qu’il existe des professionnels vers lesquels ils peuvent se tourner pour aient tous un rôle à jouer, des services d’orientation professionnelle sont offerts, souvent gratuitement, dans les centres de carrières d’établissements postsecondaires et les organismes communautaires. On peut aussi faire appel à des accompagnateurs en gestion et transition de carrière qui offrent des services tarifés.

« Pour tirer le maximum de leur talent et de leur potentiel, les Canadiens doivent prendre en charge leur développement de carrière – et il y a des professionnels qui peuvent les aider à y arriver. Le professionnel en développement de carrière peut vous aider à cerner vos points forts, à préciser vos objectifs de carrière et à bâtir les stratégies nécessaires pour avoir une vie satisfaisante. »

Pour organiser une entrevue, obtenir un laissez-passer média pour le congrès Cannexus ou avoir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :

Sharon Ferriss
Directrice principale, Marketing et communications, CERIC
sharon@ceric.ca | 647.466.0564

À propos du CERIC

Le CERIC est un organisme caritatif voué à la progression de l’éducation et de la recherche en matière d’orientation professionnelle et de développement de carrière dans le but d’accroître le bien-être économique et social des Canadiennes et des Canadiens. Il finance des projets ayant pour but de développer des ressources novatrices permettant aux divers professionnels du développement de carrière d’enrichir leurs connaissances et leurs compétences; il organise le congrès annuel Cannexus, le plus important congrès bilingue en développement de carrière au Canada; et il publie le seul périodique universitaire évalué par des pairs dans le domaine au pays, la Revue canadienne de développement de carrière. www.ceric.ca

EN SAVOIR PLUS

Avis aux médias – De nouvelles règles en matière d’engagement professionnel seront écrites lors de Cannexus 2019, le plus important congrès en développement de carrière au Canada

Ottawa, le 16 janvier 2019 – Le monde du travail a changé et 1 200 professionnels du développement de carrière de partout au pays se réuniront à Ottawa du 28 au 30 janvier pour déterminer comment aider les Canadiens à s’y retrouver. Le plus important congrès du genre au Canada, Cannexus 2019, explorera ce qui bouleverse la manière dont nous définissons le travail, cherchons des emplois, développons nos compétences et réussissons sur le marché du travail.

Quoi : Congrès national en développement de carrière Cannexus

Quand : du 28 au 30 janvier 2019, 8 h 00 – 17 h 00 HE

Où : Centre Shaw, 55, promenade du Colonel-By, Ottawa

Vice-président du conseil d’administration du CERIC, André Raymond est l’organisateur de Cannexus. Il exerce aussi les fonctions de directeur du Service de placement et de la Direction générale de la formation continue de l’Université Laval. Il sera présent au congrès, ainsi que d’autres experts en développement de carrière, pour discuter des tendances en matière de main-d’œuvre :

  • Des études prédisent que, d’ici 2020, près de la moitié des Canadiens seront des travailleurs autonomes œuvrant dans l’économie d’engagements. Alors, comment aider les gens à éviter le sous-emploi et le travail précaire?
  • Malgré quelques faux pas, il y a bon espoir que l’intelligence artificielle pourra surmonter les préjugés dans l’embauche et aider les groupes traditionnellement marginalisés du marché du travail à éviter la discrimination.
  • La lutte contre l’âgisme au travail, alors que Statistique Canada révèle que le nombre de Canadiens âgés de 55 ans et plus qui repoussent le départ à la retraite n’a jamais été aussi élevé.
  • À une époque où 80 % des curriculum vitæ sont rejetés en aussi peu que 11 secondes, les chercheurs d’emploi adoptent des techniques créatives de recherche d’emploi et des stratégies de valorisation personnelle pour se démarquer.
  • Avec des employeurs comme Shopify, qui accordent plus d’importance aux compétences qu’aux diplômes, la tendance montre une préférence croissante pour la microformation personnalisée, autodirigée et en temps opportun, pour faire l’acquisition de compétences et préserver sa pertinence.
  • Le rôle grandissant de l’apprentissage intégré au travail (p. ex. programmes coopératifs, stages, entrepreneuriat) dans la préparation des diplômés d’établissements postsecondaires à une carrière pour éviter d’être une « génération sans emploi ».
  • La reconnaissance grandissante de la possibilité de travailler comme un élément important d’une bonne santé mentale et l’importance des compétences en gestion de carrière pour accroître le bien-être général (le dernier jour du congrès, le 30 janvier, coïncide avec la journée Cause pour la cause de Bell).

La première conférencière de Cannexus sera Deborah Saucier, présidente de l’Université MacEwan d’Edmonton. Mme Saucier avance que, malgré l’inquiétude élevée de la population vis-à-vis des diplômes soi-disant « inutiles » – c’est-à-dire ceux qui ne mènent directement à aucun emploi, mais qui mènent plutôt à la dévaluation considérable des diplômes ès arts en faveur des disciplines STIM – les compétences non techniques qui sont acquises durant n’importe quelles études sont remarquablement résistantes aux bouleversements.

Le dernier conférencier sera le très honorable David Johnston, ancien gouverneur général du Canada. Il échangera avec une de ses cinq filles, Alex Johnston, au sujet du rôle de la confiance dans l’édification d’un Canada meilleur pour tous.

Au nombre des plus de 200 présentateurs :

  • Wendy Cukier, directrice universitaire et professeure en diversité à l’Université Ryerson
  • Jake Hirsch-Allen, chef des solutions d’apprentissage pour les études supérieures, LinkedIn
  • Steven Tobin, directeur exécutif, Conseil de l’information sur le marché du travail
  • Nancy Wilson, chef de la direction, Canadian Women’s Chamber of Commerce
  • Lauren Shanahan, directrice de l’acquisition de talents, SSENSE
  • Madeleine Barker, directrice générale principale, Initiatives stratégiques, Effectif, RBC
  • Jocelyne Voisin, directrice générale, Jeunesse et innovation en matière de compétences, Emploi et Développement social Canada
  • Shaun Thorson, chef de la direction, Compétences Canada
  • Kofi Hope, directeur général fondateur, CEE Centre for Young Black Professionals
  • Louis Cournoyer, professeur en counseling de carrière, Université du Québec à Montréal

Le programme complet du congrès se trouve au : https://cannexus.ca/fr/cannexus19-apercu/. Suivez le Congrès national en développement de carrière Cannexus sur Twitter, avec le compte @cannexus ou le mot-clic #Cannexus19.

À propos du CERIC

Le CERIC est un organisme caritatif voué à la progression de l’éducation et de la recherche en matière d’orientation professionnelle et de développement de carrière dans le but d’accroître le bien-être économique et social des Canadiennes et des Canadiens. Il finance des projets ayant pour but de développer des ressources novatrices permettant aux divers professionnels du développement de carrière d’enrichir leurs connaissances et leurs compétences; il organise le congrès annuel Cannexus, le plus important congrès bilingue en développement de carrière au Canada; et il publie le seul périodique universitaire évalué par des pairs dans le domaine au pays, la Revue canadienne de développement de carrière. www.ceric.ca

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Directrice, Marketing, CERIC
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Avis aux médias : Le plus important congrès en développement de carrière au Canada prépare la main-d’œuvre aux « emplois de l’avenir »

Ottawa, le 10 janvier 2018 – Du 22 au 24 janvier 2018, le Congrès national en développement de carrière Cannexus réunira à Ottawa 1 000 professionnels du développement de carrière, qui analyseront les compétences et les stratégies nécessaires à la main-d’œuvre de demain. Le plus grand congrès annuel des spécialistes de l’orientation professionnelle, de l’emploi et du développement de la main-d’œuvre – dont l’édition 2018 a lieu au moment où le Canada prend la présidence du G7 – se concentre cette année sur la « préparation aux emplois de l’avenir ».

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Un nouveau guide sur la gestion de carrière pour les petites entreprises aide à fidéliser et former le personnel

Ottawa, le 23 janvier 2017 – L’Institut canadien d’éducation et de recherche en orientation (CERIC) procédera aujourd’hui au lancement d’une nouvelle publication qui aidera plus de quatre petites ou moyennes entreprises sur cinq qui se préoccupent de fidéliser et de former son personnel de manière à assurer leur propre croissance. Intitulé Fidéliser et mobiliser : La gestion de carrière dans les petites entreprises, ce guide orienté vers l’action permet aux propriétaires de petites entreprises et aux entrepreneurs de se servir de la gestion de carrière comme levier stratégique pour obtenir de meilleurs résultats pour leur entreprise.

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Avis aux médias – Les dernières tendances en matière de travail et d’emploi examinées à Ottawa à l’occasion du plus important congrès du Canada en développement de carrière

Ottawa, le 16 janvier 2017 – Plus de 900 professionnels du développement de carrière se réuniront à Ottawa la semaine prochaine pour la 11e édition annuelle du Congrès national en développement de carrière Cannexus. Le plus grand congrès du pays destiné aux experts en orientation professionnelle, en emploi et en développement de la main-d’œuvre aura lieu du 23 au 25 janvier 2017. Les délégués traiteront des plus récentes recherches et approfondiront les sujets de l’heure dans le domaine.

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La Compagnie Canada et l’Institut canadien d’éducation et de recherche en orientation (CERIC) annoncent le lancement du document D’une carrière militaire à un emploi civil : guide de l’intervenant en développement de carrière

Toronto, le 25 janvier 2016 — La Compagnie Canada, chef de file en transition d’emploi pour les militaires, s’est associée à l’Institut canadien d’éducation et de recherche en orientation (CERIC) pour fournir aux plus de 100 000 intervenants en développement de carrière au Canada les outils dont ils ont besoin pour aider les anciens combattants à trouver des emplois dans le civil.

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Le plus important congrès du Canada à l’intention des professionnels du développement de carrière à Ottawa portant sur le marché de l’emploi et les tendances connexes

Ottawa, le 18 janvier 2016 – Plus de 800 professionnels du développement de carrière se réuniront à Ottawa, du 25 au 27 janvier 2016, pour le Congrès national en développement de carrière Cannexus, où ils y verront les nouvelles tendances en matière d’emplois et de main-d’œuvre. Célébrant son 10e anniversaire, Cannexus est l’événement canadien le plus prisé en développement de carrière. On y présente les plus récentes recherches et on y aborde les sujets de l’heure en orientation professionnelle, en emploi et en développement de la main-d’œuvre.

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