Créez des curriculum vitæ qui se démarquent
par Sharon Graham
par Sharon Graham
par Stephen Coseni
J’ai un aveu à vous faire. Il y a deux ans à peine, je ne m’intéressais pas vraiment au développement de carrière. J’étudiais en science politique en rêvant de travailler à l’étranger pour le ministère des Affaires étrangères. Ce rêve, je l’ai fait au pire moment qui soit. J’ai obtenu mon baccalauréat au début de la crise économique mondiale et j’ai obtenu ma maîtrise alors que le gouvernement fédéral annonçait des coupures et des mises à pied massives. Tant pis pour ma planification de carrière…
par Catherine Bergeron
En 2013, la santé mentale figure parmi les priorités au Canada. En janvier dernier, la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC) a publié la Norme nationale en matière de santé et de sécurité psychologiques en milieu de travail afin de favoriser de bonnes pratiques liées à la santé mentale en milieu de travail. Du 6 au 12 mai, c’était la semaine de la santé mentale, un événement annuel créé par l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM) en vue de sensibiliser et d’informer la population canadienne. L’ACSM et l’organisme Partenaires pour la santé mentale ont organisé la campagne pour la santé mentale en milieu de travail intitulée Je ne me reconnais pas à l’échelle du Canada, qui a eu lieu du 9 mai au 6 juin et qui s’est conclue par la journée Je ne me reconnais pas au travail le 6 juin.
par Marie-Josée Périard
Aujourd’hui, tous les élèves du secondaire en Ontario bénéficient de diverses occasions pour réfléchir et découvrir la multitude de choix professionnels qui leurs sont offerts. Dès la 7e année, on invite les élèves à prendre conscience du type d’intelligence qui est prédominant chez eux.
par Valerie Pringle
Ma fille Catherine et moi soutenons toutes les deux la cause de la santé mentale, la lutte pour l’obtention de meilleurs soins et l’avancement de la recherche sur la santé mentale et contre les préjugés.
par Émilie Robert
Un Canadien sur 5[1] souffrira à un moment ou un autre de sa vie d’un trouble de santé mentale. C’est beaucoup de personnes, tout autour de nous. On retrouve ces personnes dans tous les groupes d’âge et niveaux socioéconomiques. Ils fréquentent des services d’aide à l’emploi ou d’orientation professionnelle. Vous les rencontrez régulièrement dans votre bureau. Et vous avez peut-être remarqué qu’une considérable proportion des jeunes ayant un trouble de santé mentale valorisent les professions de la relation d’aide et aspirent à y œuvrer un jour. Cela peut surprendre, car il est généralement admis qu’il faut au contraire avoir un bon équilibre psychologique pour intervenir en relation d’aide. Dans le cadre des formations universitaires en relations humaines, les professeurs insistent beaucoup à faire découvrir au futur intervenants leurs vulnérabilités, à être sensibles au contre transfert, etc. Mais en même temps, sur quelles bases peut-on prédire l’équilibre psychologique qu’un jeune de 18 ans aura dans 5, 10 ans? Je vous suggère d’analyser un cas issu de ma pratique afin de dégager des pistes d’intervention utiles pour les professionnels en counseling de carrière.
par Tara Shuster
À titre de professionnels de l’orientation, nous rencontrons de nombreuses personnes aux prises avec un problème de santé mentale. Cependant, comme la plupart d’entre nous ne possèdent pas de formation particulière dans ce domaine, il se peut que nous éprouvions un sentiment d’inefficacité et de frustration. Selon des statistiques très médiatisées, une personne sur cinq souffrira d’un problème de santé mentale sous une forme ou une autre au cours de sa vie. Par conséquent, il n’est pas étonnant que bon nombre de nos clients soient confrontés à un problème de cet ordre, particulièrement si l’on tient compte du stress qu’ils subissent.
par André Parent
L’orientation auprès des personnes ayant des troubles de santé mentale présente certaines particularités que le conseiller doit connaître. Ce court article propose quelques pistes de réflexion visant à lui permettre d’adapter sa pratique aux besoins spécifiques de ces personnes et de leur réalité propre.